Née de la rencontre d’un bâtisseur en pierres sèches, Antoine Silvestri et d’une artiste plasticienne, Dominique Dauchez l’oeuvre interroge les notions de solidité et de frontière associées à la construction d’un mur qui, chemin faisant, passe de l’état solide à l’état liquide en déversant son flux jusqu’à épuisement. Conçu à partir et sur l’emplacement de déchets de bois issus de l’aménagement des espaces de plantation voisins, cette création de 30 mètres de long met en valeur cette ressource disponible sur place dont il s’agira d’observer et d’accompagner l’évolution au cours du temps.